Un billet sans look, car je ne parle pas que de fringues. Même si à la base, j'achète Grazia et Cosmo pour ça. D'ailleurs en parlant de ça, vous êtes-vous déjà senti l'âme cosmopolite ? Quelque soit votre réponse, autant vous dire que cette soirée l'avait pour thème. Mis à part mes retrouvailles avec Corinne et un bref échange avec son nouveau Jules, je n'ai cessé de parler anglais. Et j'ai adoré ça, pensez-vous. Car quand Zeus s'arrête de jouer, Zeus a soif, mais a toujours de la voix ; alors on tend l'oreille et on remonte ses manches, et ce devant un verre ou deux ; Mike me raconte leur tournée, et Dieu sait si je lui fais les yeux doux.
J'eus la joie de les découvrir grâce à l'intérêt particulier que leur voue Corinne. C'est que leur musique n'est pas des plus déplaisantes, m'est avis. On danse, on chante, on kiffe ; eux tournent et changent de rôles. Le rock indé, c'est bon. Très bon.
Si je vous dis que leur musique est cosmopolite, c'est qu'elle m'a permis de rencontrer tout un tas de people à la jeunesse marquée d'une bière à la main et d'un sourire aux lèvres ; Espagnols de passage, touristes italiens, professeurs anglais et étudiants américains. Et j'ai découvert que ce sont eux, finalement, qui font de Paris une ville en fête. Pourrais-je en dire autant des gens du métro ? I don't think so.
En résumé, de nouvelles rencontres et une belle découverte. Deuxième rencart, mai 2011. Toujours au Pop In ? Espérons-le.
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